Jeu-concours « Un, cent, beaucoup » Écrivez la suite…

Découvrez les productions des écoles participantes !

Un grand bravo à toutes les écoles qui ont participé à notre  jeu-concours « Un, cent, beaucoup  » écrivez la suite. Olivier Bar ainsi que toute l’Équipe des Éditions SEDRAP ont pris un grand plaisir à lire le travail de tous les élèves de CM1 et CM2. Beaucoup d’imagination, de réflexion, d’efforts dans tous ces récits ! Découvrez l’intégralité des productions des écoles participantes, et commençons par l’école qui remporte ce jeu-concours, et gagne des livres dédicacés par l’auteur.

 L’École de La Trétoire

Je me précipite dans sa chambre, prêt à me battre.

En entrant dans la chambre, quelle surprise !! 

C’est le grand bazar.

Ture le lapin et Est le cheval maquillent Pépé qui se débat en criant : 

– Lâchez-moi, lâchez-moi !!! Au secours !!!

J’essaye en vain de libérer Pépé en tirant de toute mes forces sur la queue de Ture mais je trébuche sur les deux boucs, In et Ai qui sont entrain de déguster les fleurs du jardin fraichement ramassées par Mémé.

– Mais arrêtez bon sang !!! 

C’est encore Pépé qui essaye de récupérer sa canne que Ri le canard veut chiper. 

Mais pourquoi les animaux sont-ils tous fous ? Je ne sais pas quoi faire pour sortir Pépé de se bourbier. 

– STOP !! 

J’ai beau crier d’arrêter, je suis à bout de souffle, mais rien n’y fait. Personne ne m’écoute, je suis debout, au milieu de cette folie. Touille et Piteau les chats de la maison, se frottent le long de mes jambes comme si toute cette situation était tout à fait normale. 

– Mais sort de la sale bête !!! 

Je me retourne, Pépé, s’est levé de son lit, il est maintenant de l’autre côté de la piècecar Talon, le paon cherche avec son bec dans l’armoire de Pépé afin de dénicher la plus belle culotte.

Je manque de trébucher car Toufle le fils de Talon s’enfuit par la fenêtre avec les mules de Mémé. 

Dinde, le cochon, se roule sur le tapis tissé avec les poils de Choir le lama, l’animal de compagnie de Pépé quand il était encore en Pologne.

D’un coup je me sens bizarre, vraiment étrange, je regarde en l’air et de l’eau s’écoule du plafond de la chambre de Pépé et Mémé. 

Mes yeux deviennent troubles.

– Le pauvre !

– Il a surement dû s’endormir avec la chaleur.

– Continue de l’arroser.

Que vois-je … Pépé et Mémé se trouvent au-dessus de moi. Je suis allongé à l’ombre du pommier et je reçois une pluie fine provenant d’un arrosoir.

Mémé est entrain de m’asperger d’eau. 

– Alors Olivier ! 

Me dit Pépé. 

-Tu as fait une sacrée sieste ! Il va falloir te dépêcher si tu ne veux pas être en retard pour le cross du collège !

Mince alors ! Avec cette chaleur je me suis assoupi et j’ai complément oublié que je devais partir au collège car aujourd’hui se déroule la course que tous les collégiens attendent avec impatience : le cross.

Je pars me préparer, j’enfile mon dossard, le 636. Et nous voici en un rien de temps en route pour le collège accompagné de Pépé et Mémé. 

La course débute et je me sens pousser des ailes, je repense à ce rêve complément fou et cela me fait sourire. J’imagine tous les animaux de la ferme autour de moi, ils sont tous là, ils m’encouragent et m’aident à franchir la ligne d’arrivée. 

– Bravo mon grand !

C’est maman, elle est arrivée avec papa pour voir la fin de la course. 

Je suis si fière de moi.

Nous sommes tous rentrés chez Pépé et Mémé avec maman et papa et nous avons dégustés la tarte à la compote de pommes de Mémé. Ils ont tous beaucoup rigolé quand j’ai raconté mon rêve. Pépé m’a même confié qu’il allait se méfier de ses animaux car j’ai oublié de vous le dire mais Ture, Est,In, Ai, Ri, Touille, Piteau, Talon, Toufle et Dinde existent vraiment et sont en ce moment même entrain de se reposer aux quatre coins de la ferme de Pépé et Mémé. 


L’École de Négreville

Je me précipite dans la chambre, prêt à me battre…  

  • Je prends une arme, au cas où des individus veulent m’attaquer. Quand j’arrive dans la  pièce, ils ne sont plus là ! La fenêtre est ouverte, ils sont sûrement passés par là. Ouf ! Ils ont laissé une adresse. Je suis allé à l’adresse et mon grand-père était dans la chambre. Les  individus ne sont plus là. Je peux récupérer mon grand-père. Je lui demande si ça va et il me  répond que oui. Il peut continuer sa sieste et je peux retourner dans la jardin.  
  • Je vais voir, puis je vois mon papy par terre. J’appelle les pompiers, puis ma grand-mère.  Elle me dit de ne pas m’inquiéter, les pompiers arrivent. Puis les pompiers sont là, ils  disent : « qu’est ce qu’il s’est passé ? » Je leur répond : « bah je partais jardiner puis j’ai  entendu mon papy crier du coup je suis parti le voir et après je l’ai vu par terre. »  
  • Dans la chambre je trouve le chat Tito ! Avec ses quatre petites et furtives pattes qui  avancent à pas de loup on peut croire que ce sont deux hommes discrets. Quand ce chat va t il arrêter de l’embêter celui-là ? Bref, je suis assez rassuré pour prendre mon chapeau et aller jardiner avec mémé.  
  • J’entre dans la chambre de pépé et mémé.  

– Oh non ! lâchez pépé ! 

– Ne t’inquiètes pas mon petit, ce terroriste est trop gentil, regarde, il m’a offert des  chocolats.  

– Mais pépé, c’est un terroriste ! 

– Je sais mais il est drôle. 

– J’appelle mémé et tu verras.  

Pendant ce temps le terroriste parti en fureur. Mémé arrive et explique comment se défendre  contre les terroristes.  

  • J’arrive dans la chambre mais mon grand-père n’est plus là. Je regarde par la fenêtre et je  vois des gens (sûrement des kidnappeurs) qui embarquent mon grand-père dans une  camionnette. J’appelle ma grand-mère et je lui dit : 

– Mamie ! Papy s’est fait kidnapper ! 

– Quoi papy s’est fait kidnapper ?! 

– Oui ! 

– Viens on va voir s’il est encore en vue. 

– Il n’est plus en vue ! 

– On prend la voiture, viens vite ! Crie ma mamie.  

– Elle est là, c’est cette camionnette j’en suis sur.  

– Papy est à l’arrière. 

– Ça va papy ?  

Et j’ai retrouvé mon grand-père. Les kidnappeurs sont en prison maintenant.  

  • J’entre et je vois mon grand-père se faire agresser par des inconnus, ils sont cinq. Je leur dit  d’arrêter mais ils ne m’écoutent pas. Je me rapproche d’une des personnes et je lui mets un  gros coup de poing. Les personnes se tournent vers moi et disent : 

– Tu vas regretter ça ! 

Il sort de sa poche un rat. Sur internet il a vu que j’étais allergique au poil de rat. Il balance  le rat sur mon visage mais j’ai eu le temps d’esquiver. D’un coup je lui mets un autre coup  de poing mais cette fois-ci il saigne du nez ! Ces amis en colère commence à m’agresser. 

D’un coup on entend une sirène de police. A la fin les agresseurs ont été mis en prison et  tout est bien qui fini bien !  

  • J’entre dans la chambre avec des balles de fusil et le fusil. Je lui demande ce qu’il s’est  passé et il répond « j’ai mal, j’ai mal ». Je demande « où as tu mal ? ». Il dit « j’ai mal à la  cote ». « Comment tu t’es fait ça ? ». « Il y a des voleurs qui m’ont lancé ». « Vite ! tue les 4 voleurs ! ». « J’ai pas réussit à les tuer mais j’ai pris leur plaque d’immatriculation.  Maintenant ce qui est le plus important c’est de te soigner » .  
  • J’arrive et pépé a disparu. Je vois qu’il est parti avec un lion, c’était un homme avec une tête de lion. J’appelle en criant mémé.  

– Il faut appeler la police.  

– Pourquoi ? Demande mémé.  

– Papy est parti avec un monsieur avec une tête de lion ! 

Mémé appelle la police et ils trouvent le monsieur et pépé.  

  • Mais je dois d’abord me préparer, car ils sont peut-être musclés. Je prend une bouteille de  cola et de la menthe pour faire de la mousse. Oh tient la mousse fait de la fumée. Je mets un  masque pour leur faire peur. Je déforme ma voix et je leur dit : « sortez d’ici ou vous serez  maudits ! » Ils sont tous partis. Papy se leva, « aie aie j’ai mal ! Et ils ont pris mon porte  feuille ! ».  
  • « Qu’est ce qu’il y a ? » J’ai vu quelque chose bouger dehors. Je vais regarder mais il n’y a  rien. Je pense qu’il hallucine. Je vais rester derrière la porte. Je ne dois pas faire de bruit  mais je vais dire à mamie que je la rejoindrais plus tard. J’ai 30 minutes pour savoir  pourquoi il crie. Mais je ne vois rien. « A l’aide ! » mais je ne vois rien. « Papy ça va ? Je  crois que tu as fait un cauchemars. Je pense que tu devrais aller regarder la télé pour te  calmer. »  
  • J’arrive dans la pièce muni de mon couteau. Une grande personne devant moi avec un  pistolet est dans la pièce. Il me dit : « plus un geste ou je tue ton grand-père ! » Mais pris  d’un élan de courage je cours vers lui et lui plante le couteau dans sa jambe et ses bras. Il  cria de douleur. Mon papy se réveilla et cria : « qu’as tu fait ?! Son gang va venir ! »  
  • Alors j’entre dans sa chambre et lui demande ce qu’il se passe. Il me répond qu’il y a une  énorme araignée qui monte sur son lit. J’essaye de l’enlever mais elle monte au plafond.  Pépé terrorisé marche lentement jusqu’à la porte. « Ne t’inquiète pas je vais chercher un  balais ! » Munit de mon balais poilu je pousse l’araignée du plafond, elle tombe par la  fenêtre. Pépé la regarde et ferme la fenêtre rapidement. Il me remercie puis reprend sa sieste  là où il l’avait arrêté.  
  • Quand j’ouvre la porte je vois deux hommes en noir, « lâchez mon grand-père ! ». « Non pas avant qu’il nous donne sa recette ! » dit l’un des hommes.  

« Jamais, plutôt mourir » dit papy.  

« Moi je la sais »  

« Un gosse sais ça ? » et là l’un des hommes s’avance vers moi, avec un sac à la main, et je  crie « mamie ! ». Mamie arrive prend son couteau et dit : « Touchez pas à mon petit fils !  J’étais championne de judo. » Les hommes terrifiés prennent la fuite, sans papy bien sûr.  

  • Je vois mon grand-père debout montrant un jeune orphelin qui s’était introduit pour prendre  des affaires et de la nourriture. Je le regarde et le voit avec le fusil de mon grand-père. Je  m’approche de lui et je lui dit : « pose ton arme s’il te plaît. » L’enfant me donne son arme et

me dit : « aidez moi je suis poursuivi ». Je sursaute, regarde par la fenêtre et je vois deux  hommes crier « rend nous l’argent ! ». Je leur donne mes économies.  

  • Quand j’ouvre la porte, mon grand-père dort sur son lit. Il est en train de rêver. J’ai eu peur  que des kidnappeurs le kidnappe ou qu’il se fasse agresser. Je suis tout seul dans la maison.  Grand-mère est dans le jardin en train de planter des fraises. D’habitude je suis avec elle  mais là je ne voulais pas aller jardiner. Et en plus il pleut.  
  • Mon pépé était sur le lit. Il était en train de se faire attaquer par Illiage le coq. Illiage m’a  mordu et j’ai crié. Et mémé m’a entendu et elle est arrivée. Elle s’est fait mordre et elle est  tombée dans les pommes. Pépé m’a regardé et a dit dans le placard il y a une matraque,  prend la et attrape le et met le vite dehors. Puis j’ai appelé les pompiers qui ont réveillé  mémé. 

– Un ours ?!

– Va chercher la carabine et tu le ! Dit mon grand-père. 

Je ne voulais pas tuer ce petit ours affamé. 

– Ne bouge pas grand-père, je vais viser sa patte. 

– Tu l’as tué ? Demande mon grand-père.  

– Non je l’ai juste endormie. Regarde s’il y a une adresse sur le médaillon. – C’est celle du zoo, je l’appelle. 


L’École de Theys

Récit 1

Mais finalement quand je rentre dans la chambre, je trouve pépé couché dans son lit en train de ronfler. Je redescends en bas et je me rends compte que j’ai oublié mon chapeau en haut. Donc je remonte pour aller le chercher. J’entends de nouveau pépé crier. 

Alors je décide de m’allonger avec lui. Puis je ferme les yeux, petit à petit et je sens du vent entrer en moi. Je vois comme des aurores boréales. Et quand j’ouvre les yeux je me trouve sur un nuage rose puis je me lève et je regarde mes jambes

-« ahah !!!! » je suis une licorne avec du vernis, puis je touche ma tête et je découvre que j’ai une corne. Je trouve que mes sabots sont collants : « hummmmmm ! » Que c’est bon et je saute courageusement et je me retrouve au pays des rêves. Quand je vois des sucres d’orge à la place des arbres je comprends que le nuage que j’ai goûté était de la barbe à papa. Puis je vois Piteau transformé en chapiteau. Je décide de rentrer à l’intérieur et tout d’un coup je me transforme en requin « Han !!.. » J’ai changé de monde.

Je comprends enfin que dans le chapiteau il y a de l’eau. En m’avançant un peu je rencontre une jolie sirène : « wouha ! elle est trop belle ! »

Hahh un requin !  Dit-elle

Je nage pour la rattraper. Après avoir fait 3 km, je l’attrape et la mange tout cru.

Après avoir traversé 100 mondes : celui de Mc Do, des voitures de course, des tracteurs, de la mode, de Mine Craft, de l’école, des disputes, des vacances, des monstres (beuurk !!), ect…

E t puis un moment je me retrouve dans le dernier des mondes celui de l’enfer !

Le plus effrayant et le plus dangereux. Et là, cette fois je suis un dragon et en plus je crache du feu (trop bien !!) j’avance un peu. Et je trouve un château entouré de lave, je décide d’aller dedans en passant par le pont en pierre. En arrivant devant le château, j’appuie sur la sonnette « ding, dong », mais personne ne répond donc je décide d’entrer dedans quand j’ouvre la porte il n’y a personne j’avance un peu et je trouve pépé enfermé dans une cage 

_« Mais qu’est-ce que tu fais là , pépé ?

_des gens m’ont attrapé et m’ont enfermé dans cette cage »

Pépé me dit que les clés sont accrochées à la ceinture du démon. Je décide d’aller chercher le démon, mais j’ai quand même un peu peur.

Je le trouve dans sa chambre en train de dormir.  J’essaie de prendre les clés dans la serrure et j’entends une douce voix qui dit : 

 _ « Vous dormez mes chéris ? »

Soudain je revois les aurores boréales, et je ressens de nouveau du vent en moi.

Je retourne dans la réalité.

_ « Mémé ! Pourquoi tu m’as interrompu dans mon rêve, j’allais de venir un héros. »

Je réveille pépé. 

_ « Pépé ! J’étais dans ton rêve, tu m’as vu ?

_oui je t’ai vu ! »

Ding, dong.

_« Olivier, crie mémé , tes parents sont là !

_Au revoir pépé ! au revoir Mémé ! à la semaine prochaine ! »

J’embrasse mes grands-parents, vivement la semaine prochaine pour de nouvelles aventures !

Récit 2

Une fois arrivé dans la chambre de Pépé, je le retrouve allongé dans son lit. Je me précipite vers lui et trébuche sur quelque chose. A mes pieds, je trouve une petite bouteille avec une tête de mort dessus. Je me mets à hurler Mémé qui m’a entendu se précipite vers moi et je lui montre la petite bouteille de poison. En voyant ça, Mémé prend Pépé dans ses bras et dit entre deux sanglots : « amenons-le à l’hôpital et vite ! Son cœur bat mais peut s’arrêter à tout moment ! » Nous montons dans la camionnette et allons à l’hôpital où travaillait Pépé en quatrième vitesse. Mélanie une femme que Mémé connait bien, le prends et le pose sur un brancard puis elle nous demande ce qui s’est passé. Une fois le récit terminé elle nous dit que ce n’est pas le seul meurtre et que ce sont les mêmes psychopathes invisibles qui ont cambriolé plusieurs bijouteries. Personne n’a réussi à savoir où ils n’allaient ni quand. Après être sortis de l’hôpital nous allons rendre visite à Benjamin pour avoir un peu plus d’informations sur les meurtres et les cambriolages et pouvoir enquêter à ses côtés. Ensemble nous discutons des cambriolages et des meurtres. Mon frère nous dit que les bijouteries qui ont été cambriolées n’ont aucune trace d’effraction. Quand les bijoutiers vont travailler très tôt le matin, ils trouvent la pièce dévalisée de fond en comble. Mémé dit en regardant sa montre : « houlà, il va falloir rentrer car il est tard, et ma tarte aux pommes va finir brûlée ! Mais ne t’inquiète pas Benjamin, demain nous reviendrons te voir. 

_ Alors à demain, dit mon frère. »

Nous retournons à la maison pour attendre mes parents. Une fois arrivés, nous retrouvons pap et maman en train de manger de la tarte aux pommes ! Mémé s’écrie :

_ « Ma tarte, Mais où est-elle ma tarte ??§§ Bande de Gourmands ! »

Moi, en attendant, je leur raconte ce qui s’est passé (en mangeant de la tarte, bien sûr !)

A leur tour mes parents disent :

_ « Nous n’avons pas pu vendre notre miel au marché parce qu’il a disparu comme par magie en passant à côté de la forêt. »

Le lendemain matin, je ne vais pas au collège, maman l’appelle et explique que je suis malade, mais en vérité je suis bien décidé à enquêter avec mon grand frère. A ma grande surprise, les gendarmes ont découvert la cachette des voleurs. Ils ne savent pas vraiment où mais ils savent que c’est un manoir criblé de pièges et de passages secrets qui se trouve dans la forêt. Yasmine, notre maman, dit que son miel avait disparu près de la forêt, coïncidence ? Sans aucun doute l’œuvre de ces sacripants. Aussitôt dit aussitôt fait : nous partons, mais avant il nous faut du matériel et d’autres volontaires. Peu après, nous arpentons la forêt de long en large. Nous trouvons le manoir enfin, après 6 heures de recherche. Nous entrons, nous regardons les murs, le plafond et même le sol. A un moment je n’entends plus personne et je me retourne mais il n’y a personne. Soudain on me met du tissu mouillé sur la bouche et je sombre dans l’inconscience. Quand je me réveille, je veux partir au plus vite de cet endroit mais quelque chose m’en empêche. Je regarde derrière moi et vois des cordes. Je comprends tout, on m’a drogué, puis ligoté et emmené ici. Je regarde autour de moi et je vois que je suis dans un endroit avec plein d’objets volés et me souviens que des épées avaient été volées. Je les vois serties d’or, d’émeraudes, d’opales, de rubis et d’améthyste. Je me dirige là-bas avec énormément de mal et y arrive au bout d’un quart d’heure d’effort. Avec un dernier effort je coupe mes liens et m’endors d’épuisement. Je me réveille, inspecte les lieux et vois une fenêtre avec un parchemin accroché dessus. Je vais vers la fenêtre avec mes membres douloureux. La fenêtre est grillagée mais le parchemin montre tous les pièges du manoir et tous ses passages secrets. Je sors et j’emprunte nombre de passages secrets et évite beaucoup de pièges. Une fois dehors, je me précipite vers le commissariat. Dix minutes plus tard je me retrouve devant la gendarmerie, essoufflé et entre. Benjamin me voit et m’explique comment il est sorti du manoir. Moi, je lui raconte ma mésaventure. Nous retournons au manoir avec des renforts pour les capturer. La bataille fait rage. Je ne me montre pas en attendant la fin de la bataille, nous gagnons. Sur le chemin du retour, mon grand frère me dit que Pépé est en vie et il se repose à sa maison tranquillement. Peu après nous allons voir Pépé et mangeons un bout. Pépé me dit qu’il va mieux. Ma vie reprend enfin un rythme normal, mais ne dites à personne cette histoire ! C’est un secret ! 

Récit 3

J’observe la pièce : Pépé a disparu.

J’appelle Mémé : « Mémé ! Pépé a disparu. »

Je l’entends monter en courant. Je vois des traces rouges par terre. Mon cœur se met à battre plus vite. Finalement, je me rends compte que c’est trop épais pour être de sang. C’est de la confiture. Soulagé, je souffle, puis je regarde par la fenêtre grande ouverte, histoire de voir si les brigands sont toujours là. A la place des bandits, j’aperçois d’autre traces de confiture dehors, elles forment un chemin. Nous prenons la voiture avec Mémé et décidons de suivre les traces de confitures. Nous prenons de quoi manger. Qui sait, le trajet peut être long. Finalement, après environ 1 heure de voiture, il n’y a plus de traces. Et là, sur la route il y a un pot de confiture énorme celui dans lequel y avait toute la confiture maintenant par terre. On dirait qu’il y a un mot sur l’étiquette. Mémé s’arrête, prend le pot et lit le mot :

« A l’aide, j’ai vu ta voiture nous suivre Mémé. Rejoignez-moi 18 rue de la Chapelle, 436 Paris. Pépé. 

P.S. : Je le sais car j’ai entendu les hommes le dire. »

Je reconnais bien l’écriture de Pépé, Mémé dit d’un air inquiet : 

-Aller, en voiture !

Elle met le GPS (18 rue de la Chapelle, 436 Paris). 3 heures de voiture plus tard, je me suis évidemment endormi. Mémé me réveille. 

-Tu as faim ? 

Me demande-t-elle je me suis arrêté à une station-service. Je sors et je dis :

-Oui un peu. 

-Prends des sandwichs dans le coffre pendant que je fais le plein.

De retour en voiture, je mange un sandwich et je me rendors. Une fois arrivé, Mémé me réveille (encore). On observe un grand bâtiment, assez vieux, on sonne à la porte et une voix nous dit :

-C’est pourquoi ?

J’invente un truc, vite !

-Nous sommes euh… là pour livrer des sandwichs gratuits, ai-je pensé en voyant les sandwichs dans la voiture.

-Très bien, enterez ! Dit la voix. La porte émet un « ting », on entre.

Mémé reçois un message de mes parents juste avant qu’elle n’entre.

Mémé répond « D’accord ! » Avec un smiley.

Cette fois, on entre pour de bon sans oublier les sandwichs, évidemment. Le bâtiment est très spacieux à l’intérieur, contrairement à dehors. Nous montons au premier étage et on frappe à la première porte. Mémé tient les sandwichs, pendant que moi, mon cœur se met à battre puissance 1000. Quelqu’un dit :

-Entrez !

Nous entrons. Et là, vous n’allez pas la croire. Il y a un homme en costume assis derrière un bureau. Et cet homme c’est Pépé ! Mais, mais… Je suis en état de choc ! Pépé, là, devant moi, sans aucune blessure. Pépé dit :

-Bonjour Mémé, bonjour Olivier, je vous attendais ! Je vous expliquerais ce qu’il s’est passé. Les hommes qui m’ont enlevé ne me voulaient pas de mal. L’ancien directeur de cette entreprise était Justin, un de mes plus précieux amis. Il est malheureusement mort d’un cancer il y a quelques heures. Les hommes qui m’ont enlevé sont Marc et Nick. Ils m’ont emmené au lit de mort de Justin car ils demandait à me voir. Il m’a supplié de prendre sa place dans son entreprise nommée : «  1,100, beaucoup » , il a tout consigné dans ces papiers que vous voyez là. 

Pépé regarde la pile de papiers. Mémé qui n’a pas prononcé un mot depuis que l’on est renté dit :

–   Et bien … Comment savais-tu que nous viendrons te voir ? Demande-t-elle.

-Le pot de confiture, répond Pépé d’un air évident, il était dans le placard de ma chambre. J’allais me régaler quand Marc et Nick m’ont enlevé, alors j’ai eu cette merveilleuse idée de laisser de la confiture sur le chemin. Quand je me suis rendu compte qu’il n’y avait presque plus de confiture, j’ai marqué un mot sur l’étiquette avec un stylo trouvé dans la voiture. Quand je suis tombé en panne de confiture, j’ai lancé le pot par la fenêtre. Finit Pépé.

-Comment as-tu su où Marc et Nick t’emmenaient ? Demandé-je.

– Ils l’ont dit dans la voiture, répond Pépé, rappelle toi c’était dit dans le mot.

Cette fois c’est Mémé qui pose une question :

-Pourquoi cette entreprise s’appelle 1,100, beaucoup ? Demande-t-elle.

-Je vais t’expliquer, dit Pépé, elle s’appelle 1,100, beaucoup car nous volons 1,100 beaucoup de biens, de trésors, de trésor précieux etc…

Je m’écrie.

-Quoi ?!!! 

-Ne t’inquiète pas Olivier, dit Pépé d’une voix calme, nous volons les voleurs, nous capturons les brigands pour la police…

-C’est-à-dire, tu voles les voleurs ? Demande Mémé.

-Nous volons les objets que les voleurs ont volé pour les rendre à leur propriétaire.

-Comment savez-vous à qui appartiennent les objets volés ? Demandé-je.

-Nous avons plein de moyens pour ça : empreinte digitale, scanner, etc… répond Pépé.

-Ce n’est pas tout, mais il faudrait renter Olivier. Dit Mémé. Tu reviendras demain, ajoute-t-elle.

-D’accord, répond Pépé.

Une fois rentré chez Pépé et Mémé, nous nous reposons. Pépé monte dans sa chambre et dit :

-Je vais me reposer, ce soir je ferais des pinougis, ajoute-t-il. Il monte.

Je saute de joie car j’adore les pinougis (les pinougis sont des sortes de ravioles avec des pruneaux dedans). Je m’arrête dans mon saut de joie. J’entends un bruit dans la cuisine. Je vais voir. Je vois Mémé avec plein de pots dans les mains. Je lui demande :

-Que vas-tu faire avec ses pots, Mémé ?

En guise de réponse elle me dit :

-Suis moi !

Elle monte dans la chambre, en la voyant entrer, Pépé demande à son tour :

– Que vas-tu faire avec ses pots ?

Elle répond :

-Les mettre dans le placard de ta chambre, Pépé ! On ne sait jamais si tu te refais enlever, Marcel (c’est le nom de Pépé)…

Pépé et moi, on éclate de rire. Je prends un pot.

-C’est bien ce que je pensais ! Dis-je. Et j’ajoute :

-C’est de la confiture. Mais un détail que je viens de remarquer m’échappe. Je prends un autre pot, puis un autre et encore un autre. Et je demande :

-Mémé, pourquoi ces pots de confitures sont périmés depuis 1 an ?

-Pour être sûr que Pépé ne les mange pas ! Je les gardais pour des occasions spéciales comme celle-ci !

Pépé et moi on éclate à nouveau de rire. 

FIN

Récit 4

Je vois un individu masqué paré de noir, sauter par la fenêtre ouverte, mais il est déjà trop tard. Je me retourne et vois mon pépé étendu au sol. La moquette est tachée de sang. Je crie.

_ Non ! Pépé réveille-toi ! Mémé accourt.

_ Qu’est-ce qui se passe ?

_ C’est pépé !

En voyant cela elle tombe répandant à son tour du sang sur le sol. Je dois agir seul. Deux options s’offrent à moi : sauver mes grands-parents ou retrouver l’individu masqué ? Sauver mes grands-parents est préférable. L’individu attendra. Je me penche vers eux pour vérifier si la vie ne les a pas quittés. Ouf ! Ils respirent encore. Je sors mon téléphone portable de ma poche puis compose le numéro des secours (le 112). Les pompiers arrivent vite. Suivi de près par la gendarmerie et mes parents. L’ambulance emmène pépé et mémé à l’hôpital, nous les rejoignons. Un peu plus tard, c’est au tour de mon frère de nous rejoindre. Une fois que nous avons eu des nouvelles de pépé et mémé nos parents demandent de retourner à la maison avec mon grand-frère qui doit me garder. Bien sûr je proteste :

_ Ce n’est pas juste ! Je peux bien me garder tout seul et puis il va dormir toute la journée.

Finalement mon frère me ramène à la maison. Il s’allonge sur le canapé, allume la télé et s’endort. Maintenant la voie est libre je peux chercher l’agresseur en toute liberté. Je prends de quoi manger puis je me rends devant la maison de mes grands-parents à la recherche d’indices. Je fais le tour de la ferme, sous la fenêtre de la chambre de pépé et mémé j’aperçois des empreintes de pas, j’ai trouvé une piste ! Je suis les traces, elles se dirigent vers la forêt. Au bout de 10 bonnes minutes les marquent cessent puis petit à petit s’arrêtent au beau milieu des arbres. Des éclats de voix me parviennent. Je m’approche doucement du petit bosquet. Je vois deux hommes converser ensemble dont l’homme en noir. Je les écoute, je saisis quelques de leur conversation mais je ne comprends pas bien. Je me frotte les yeux puis plus rien. Mais où étaient-ils donc passés ? Ces hommes ne peuvent pas se volatiliser ? Je suis alors pris de doute. Je pénètre à l’intérieur de la clairière. Des feuilles mortes jonchent le sol. J’inspecte les lieux à la recherche d’une cachette, rien en vue. A quelques pas de moi, un tas de feuilles un peu plus gros que les autres attire mon attention, je m’assieds dessus pour manger un bout, quand soudain :

Boum ! Je suis catapulté à une vitesse impressionnante et je finis ma course dans un buisson d’épines. Derrière moi, une voix dit :

_ Aïe ! Ça doit faire mal. D’une voix inquiète je dis

_Qui est là ? Que me voulez-vous ? 

_Ne t’inquiète pas je suis là pour toi ! Fait une voix familière.

_Benjamin ?!

_Oui c’est moi.

_Tu m’as suivi ?

_Bien sûr depuis le début je sais que tu mènes l’enquête. J’ai fait semblant de dormir et je t’ai vu partir donc je t’ai suivi. Viens allons voir ce qu’il y a sous ce tas de feuilles.

_ OK on y va !

Avec mon frère nous éparpillons les dernières feuilles et découvrons une trapper avec un anneau métallique en guise de poignée. Nous l’ouvrons et descendons alors à l’intérieur. Des voix répercutent en échos, ce sont celles des deux hommes. Nous nous glissons silencieusement dans le noir d’une galerie. Les ravisseurs sont là, à 100 mètres. Benjamin sort son pistolet et l’arme, moi je reste figé sur place. Mon frère tire 2 fois en disant : « Pour pépé et mémé ». Les deux individus tombent au sol gravement blessés. Mon frère appelle un collègue qui arrive peu après. Nous nous allons voir pépé et mémé qui se sont réveillés.

Une fois à l’hôpital papa et maman nous disent que pépé et mémé garderont des séquelles : mémé une grande cicatrice sur le front et pépé une jambe amputée et un fauteuil roulant. Un mercredi, un mois après l’incident, pépé me demande d’aller acheter le journal : la Une attire mon attention : « 1,100, beaucoup d’assassins rodent dans la région. Soyez vigilants ! Ils se tapissent dans l’ombre et agissent en toute discrétion ». 

Il me reste des aventures à vivre et pas qu’une, peut-être 100 mais en tant cas beaucoup !

 

FIN

Récit 5

Je rentre dans la pièce, prêt à me battre. Puis je me mets à crier car pépé est par terre, Mémé arrive en courant, elle se met à crier et à pleurer. Pépé est menacé par un inconnu avec une cagoule. L’inconnu s’arrache sa cagoule et dit :

_ « Salut Pépé, c’est moi, Benjamin !

_ Benjamin, mais tu m’as fait une de ces peurs !

_Mais je m’entraine juste, pépé. »

Mémé sèche ses larmes et s’évanouis, je crie :

_ « Benjamin, mais tu es fou ! Regarde ce que tu as fait, mémé s’est évanouie ! »

Pépé se lève et essaie de la réanimer, pendant ce temps j’appelle les pompiers. Une fois les pompiers arrivés, ils arrivent à lui faire reprendre connaissance, ils l’emmènent à l’hôpital pour la surveiller.

Benjamin est effondré il comprend enfin son erreur, il reste chez nos grands parents inquiet dans l’attentes d’avoir des nouvelles de Mémé.

Le soir même, Mémé rentre de l’hôpital avec beaucoup de fièvre, elle se couche dans son lit. Mes parents viennent me chercher et nous rentrons chez nous. Le lendemain, je mets mon réveil à 6h45. Je prends mon petit déjeuner, comme tous les matins, je me lave les dents et je vais au collège. Arrivé au collège, une bande de crapules vient m’embêter. Je fais comme si de rien n’était. Heureusement, la bande voit mes copains, ces voyous ont peur et s’en vont. Je vais en cours. Le vendredi, lundi et mardi tout se passe bien. Comme tous les mercredis je vais chez mon Pépé et Mémé. Cette fois, pépé va se reposer dans sa chambre mais avec la fenêtre fermée. Il entend du bruit, un inconnu entre par la fenêtre de la salle de bains restée ouverte. Pépé se réveille et dit :

_ « Benjamin, ça suffit, laisse-moi tranquille, tu en as assez fait la dernière fois !

 

Mais cette fois-ci ce n’est pas benjamin mais c’est un vrai voleur. Pépé se lève immédiatement et essaie de se débattre mais il n’y arrive pas. Les voleurs l’emportent vers le grand manoir au fin fond de la ville. Je vois les voleurs avec Pépé dans leurs bras. Je décide tout de suite d’appeler Benjamin. Je cours en direction des voleurs. Je les suis jusqu’au manoir terrifiant. Benjamin arrive à toute vitesse, je lui tiens la main très fort, et on rentre tous les deux dans cette sinistre demeure. Et BAM, Benjamin se cogne contre une planche toute poussiéreuse qui tombe du plafond. Les voleurs encerclent Benjamin et je me retrouve tout seul dans ce sombre manoir. Deux lumières rouges se rapprochent de moi, c’est un lapin qui me guide vers une pièce. Dans cette pièce je retrouve Pépé mais pas Benjamin. D’un seul coup j’entends du bruit et je me cache derrière un établi. Je vois les voleurs qui tiennent Benjamin par les bras.

_ « Mais laissez-moi, crie-t-il, je n’ai rien fait, je suis innocent ! »

Ils mettent Benjamin dans la même cage que Pépé. Je trouve une pierre et je bloque la porte pour qu’elle ne se referme pas. J’attends que les voleurs partent.

Ouf, ils ne m’ont pas vu !

Je sors de ma cachette et je me dirige vers la cage. Il n’y a pas de clé. Benjamin sort une épingle de sa poche et me la donne pour que je puisse crocheter la serrure. Je l’ouvre, on sort en courant et on appelle les collègues de Benjamin. Ils arrivent et capturent les deux voleurs avec difficulté, mais ils y arrivent quand même. On rentre pour voir Mémé, mais elle n’est pas là, je vois des empreintes de bottes pleines de terre. Je les suis et je tombe sur une voiture dont le coffre est ouvert. Mémé est ligotée avec un mouchoir dans la bouche. Quant à moi, je me faufile dans le coffre, hélas, le coffre se referme. Je remarque qu’il y a un écran tactile sur le coffre. Je réfléchis mais je n’arrive pas à trouver le code. Je regarde Mémé pour voir si elle trouve quelque chose. Je vois sur une ficèle accrochée au coffre un papier où il est écrit : « un, cent, beaucoup », je rentre ce code et d’un seul coup le coffre s’ouvre. Mémé et moi sortons de là en courant. Nous rentrons à la maison. Mes parents viennent me chercher, je leur raconte tout ce qui vient de se passer. Les voleurs sont avec les autres voleurs en prison, grâce à Benjamin et son équipe.

Nous vivons heureux jusqu’à la fin de notre belle et longue vie.

Récit 6

Je rentre prêt à me battre et je dis « Pépé, qu’est ce qu’il y a ? Il y a des objets qui flottent dans les airs et des voix mystérieuses, le vase de Mémé est même casse ! »

Je vois qu’il y a de la farine sous le lit de pépé, je la prends et j’en mets un peu par terre. Les choses invisibles tombent dans la farine, elles s’en vont mais elles laissent des traces derrière elles.

Pépé me dit : « _Olivier, ne suis pas ces traces !

_Oui pépé ne t’inquiète pas »

Mémé arrive en courant et voit son vase cassé, elle gronde pépé et me dit : « va jouer dans ta chambre ! »

Pendant que mémé gronde pépé, j’établis un plan avec des tuiles et du bois. Je vais construire une machine qui m’aidera à retrouver ces mystérieuses créatures. Ma machine peut voler, je monte dedans et je m’envole. Je suis les traces de pas enfarinés , elles s’arrêtent à une grotte. Cette grotte est toute petite et sombre, je prends ma lampe de poche. Malheureusement elle n’a plus de pile. J’entends des bruits, je m’oriente vers eux et tout à coup je vois une passerelle en bois, je l’emprunte. Autour de moi il y a de la lave, mon pont casse et je tombe « c’en est fini de moi, je vais finir brûler dans la lave » me dis-je. Mais non, tout va bien, des fantômes verts me rattrapent et m’emmènent dans leur village. Là on me présente à leur chef et je lui dis : « pourquoi vous avez fait peur à mon grand-père ?

_ Parce qu’il nous a volé quelque chose de très précieux. Il était venu ici avant toi, il y a quelques semaines depuis notre village meurt de faim. Il nous a volé la pierre de Chichi, une pierre très rare.

_ Ah, bon ? Je pense qu’il l’aurait mis dans son coffre.

_ Tu sais où il est ? sinon on détruit ta maison !

_ Oui je sais où il est, il se trouve dans le village, vers la mairie, il le cache dans un buisson.

Aller, les fantômes : cherchez ce coffre et vous aurez une récompense et prenez Olivier avec vous ! »

Les fantômes arrivent à la mairie, ils cherchent dans les buissons mais ils ne trouvent rien. Soudain je me souviens qu’il l’avait mis en dessous d’une pierre.

5 minutes après ils trouvent le coffre mais il y a un code a 4 chiffres et 8 lettres. Je me souviens, il marque toujours son mot de passe dans son carnet. Nous allons donc à la maison, nous arrivons et les fantômes cherchent partout mais ils ne trouvent rien. Quand Illage rentre dans la maison, il soulève le tapis juste en dessous de son lit. Il y a une trappe secrète au bout de la trappe il y a son carnet entre quelques pierres. Il y est écrit : « le 5 mai, j’ai volé la pierre de Chichi, je l’ai mise dans mon coffre secret près de la mairie et mon code est : 1,100 beaucoup. » 

Nous retournons donc à la mairie et je rentre le code. Il y a , à l’intérieur une feuille sur laquelle est écrit : « j’ai caché la pierre de Chichi autre part. Indice : j’adore cet endroit , mon meilleur ami y habite ».

_ « Tu nous a trahi voleur, disent les fantômes, emmenons-le au chef, il décidera de son sort ! »

Arrivé près du chef, il me dit : « Sais-tu ce que mes fantômes vont manger ?

Je fais non de la tête

 _toi, mon jeune homme !!

_Non , s’il vous plait de ne mangez pas ! Il y avait un mot dans le coffre, je vous le lis : j’ai caché la pierre de Chichi autre part, indice, j’adore cet endroit et mon meilleur ami y habite. Je sais où c’est, laissez-moi 4 heures !S’il vous plait

_je te laisse 3h15 ! »

Je réfléchis et j’ajoute 

_ « Mais j’ai besoin de vos fantômes pour y arriver ! 

_ Très bien ! »

Il faut se rendre à Nantes. Au bout de 35 minutes de trajet, nous arrivons au 327 rue du Tritri. Nous ouvrons la porte mais il n’y a personne donc je cherche la pierre et je la trouve dans sa cheminée, je la prends, elle brille dans mes mains, elle toute bleue. Je regarde ma montre il ne me reste plus que 1h, je repars avec les fantômes vers ma grotte. Lorsque nous arrivons, je donne la pierre au chef.

_ « Merci, Olivier, me dit-il, je te donne mon collier comme ça je te reconnaitrais, au revoir mon ami et merci ! 

_ Au revoir, de rien ! »

Je rentre à la maison, rien n’a changé : pépé ronfle paisiblement et Mémé regarde toujours son émission préférée.


L’École Pierre Brossolette

J’ouvre la porte et je vois des gens à capuche avec des bâtons qui essayent de capturer Pépé . 

Dès qu‘ils ont réussi à neutraliser Pépé ils l’amènent dans une camionnette semblable à celle de mes parents. Je les vois partir sans pouvoir rien faire, car ils étaient trop loin. Je me rue en bas sans répondre à Mamie qui me demande ce qui se passe. Je prends le téléphone et je cherche dans le répertoire «police». Je les trouve enfin au bout d’une dizaine de minutes. Ils répondent : 

– « Bonjour avez-vous un problème ? » 

– « Mon, mon,mon grand-père a été enlevé! Ils, ils,sont partis dans une camionnette rouge. » 

– « As-tu vu la plaque d’immatriculation?». 

– «Non ils l’avaient enlevée». 

«Bizarre…. Plusieurs enlèvements ont eu lieu en ce moment. J’envoie une patrouille sur le champ, vous êtes où?» 

Une fois l’adresse donnée, les policiers arrivent, mon frère avec eux. Puis ils ont sorti un chien pisteur. 

Le lendemain, le chien a trouvé une grotte. Ils ont demandé à toutes les personnes qui étaient sur le coup la veille de se présenter à quinze heures et demie devant la grotte. Quand je suis arrivé, ils étaient en train de désigner des volontaires pour explorer la grotte. J’ai levé la main sans hésiter. Mon frère a fait de même et quelques policiers et gendarmes aussi. 

À l’intérieur de la grotte nous trouvons du matériel de terroriste. Soudain, je trouve un passage qui mène à la surface. 

Une heure plus tard, nous voyons enfin la lumière du jour. 

«Nous sommes en haut d’une géante falaise!!!» criais-je, les yeux ronds. «Je pense plutôt que nous sommes à l’observatoire,» dit mon frère. 

«L’observatoire, mais pourquoi ce passage jusque-là?» 

«Je pense que c’est leur quartier général» dit un policier. 

Soudain, un policier cria. Je n’ai pas le temps de me retourner, qu’une douleur fulgurante à la tête me transperce. J’arrive à rester debout deux secondes puis je m’évanouis. 

Trois jours que je suis enfermé dans cet hôpital qui sent le renfermé. Je voudrais retourner à l’école et faire des choses plutôt que de poireauter dans ce lit dont le confort devient agaçant. Quelques heures plus tard, une infirmière arrive et me dit: “C’est bon Olivier, tu vas pouvoir retourner au collège”. 

Le lendemain, je retrouve mon collège adoré. Soudain une idée me traverse l’esprit : et si le matériel de terroriste servait à faire exploser le quartier général des kidnappeurs en cas d’intrusion ? 

Je prends mon vélo (car j’étais venu en vélo) et je fonce au commissariat de police. Pendant mon ascension je pense à ces kidnappeurs qui m’ont assommé en haut de la falaise il y a 4 jours. Quand je pense que j’ai pu être aussi sot de ne pas avoir pensé plus tôt à quoi pouvait servir le matériel de terroriste. D’un coup tout devient clair dans ma tête. Voilà pourquoi un policier m’a dit à l’hôpital que moi et des policiers les avons sauvés de justesse, que les kidnappeurs ne l’enlèvent pas lui et les autres. 

Les terroristes ne voulaient pas être obligés d’exploser leur base secrète, car s’il nous avait laissé explorer le terrain, ils auraient été obligés d’exploser leur base et d’abandonner tout ce qu’il y avait à l’intérieur donc toutes les personnes kidnappées.

J’arrive enfin, au commissariat et je reconnais une des personnes qui était avec moi pour explorer la grotte. Je lui dis « Vite il faut aller à la grotte, les kidnappeurs vont la faire exploser si nous continuons à l’explorer. Toutes les personnes qui ont été kidnappées vont se faire tuer. » 

Le policier qui avait compris ce qui se passait appela les policiers qui étaient devant la grotte et les envoya arrêter les malfrats. Après une rude bagarre, la police réussit à les neutraliser, et à les emprisonner. 

Quelques jours plus tard, tout était rentré dans l’ordre. Les policiers avaient retrouvé toutes les personnes kidnappées. Je suis content. 

FIN !


L’École Ramecourt

Groupe 1 : 

Je me précipite tout en courant vers la chambre de Papi. Et là, Mamie m’appelle :  « – Olivier, Olivier, ton gâteau est prêt ! Viens gôuter ! 

– D’accord Mamie, attends une minute, dit Olivier. 

– Non, viens maintenant ! gronda Mamie 

–  Hum !  Notre  gâteau  à  la  compote  de  pommes  est  délicieux ! Je  vais  chercher  mon  chapeau. » raconta Olivier  

Je rentre et là je découvre un vacarme inimaginable ! Plein d’oiseaux ont mis le désordre  dans la chambre : des coussins, des bijoux, des armoires étaient par terre ! Je fais fuir les  oiseaux. Après avoir rangé, papi était très content et fier de moi ! 

Groupe 2 : 

Je vole aux secours de mon grand-père. Quand je rentre dans la chambre de mon papi, je  m’aperçois qu’il n’y a personne dans sa chambre à part mon grand-père. Je m’approche  du lit et je le réveille. Et puis, il me raconte ce qui c’est passé dans son cauchemar : il a  rêvé  d’un  voleur  qui  s’était  introduit  dans  sa  chambre.  Il  allait  peut-être  voler  de  l’argent, des bijoux pour sa femme, les coupes de son enfance… Le voleur allait peut-être  voler les clés de sa voiture et la prendre. 

Groupe 3 : 

J’ouvre  la  porte  et  je  vois  les  policiers  qui  arrêtent  mon  grand-père.  Je  demande  en  m’inquiétant « Qu’est-ce que vous faites à mon grand-père ? ». 

« C’est un criminel, me répondent les policiers, nous le recherchons depuis 21 ans. Nous  avons fait beaucoup de recherches pour le trouver ». 

Quoi ? Mon grand-père est un criminel ! Je vais chercher ma grand-mère et je lui dis que  les policiers sont en train d’arrêter mon grand-père étonnamment. Elle vient avec moi et  leur dit que ce n’est pas un criminel. On leur dit d’arrêter mais les policiers partent au  commissariat avec papi.  

Une heure plus tard, je fais des recherches sur internet : est-ce que mon grand-père était vraiment un criminel ? Est-ce que c’était vrai ? Quelques jours plus tard, je trouvais enfin  une  information !  En  fait,  papi  était  le  voleur  de  banque !  J’étais  en  colère  mais  triste  aussi car je l’aime encore beaucoup. 

Groupe 4 : 

Quand  je  rentre  dans  la  chambre  de  mes  grands-parents,  je  vois  mon  papi  crier  « à  l’aide ! Mes poules ! » Donc je lui demande ce qu’il y a dans mon son poulailler. Il ne me  répond pas donc je prends mon chapeau et je vais jardiner avec ma grand-mère. Quand  je suis dans le couloir, j’entends mon papi crier et d’un seul coup, je ne l’entends plus ! Je  vais voir ce qui se passe puis je vois un homme dans la chambre de mes grands-parents  avec  une  poêle  à  la  main  et  qui  vient  de  taper  papi  sur  la  tête !  J’appelle  la  police,  je  décris le voleur : il est habillé tout en noir, avec une poêle à la main, des lunettes noires  et  un  bonnet  noir.  Dans  l’après-midi,  mon  grand-père  m’appelle  pour  me  dire  que  le  voleur avait été retrouvé et qu’il venait d’être mis en prison. 

Groupe 5 :

J’entre dans la chambre et demande à mon grand-père ce qui se passe. Il y a un loup dans  le    poulailler. Je  crie  pour le  faire  fuir,  pour  ne  pas  qu’il mange les  poules, mais  ça  ne  fonctionne  pas.  Je  descends  pour  essayer  de le  faire  fuir.  Quelques  temps  plus  tard, il  finit par partir mais mon grand-père avait peur : le loup avait peut-être tué une poule… 

Alors on descend tous les deux vérifier. Heureusement, il n’a tué aucune poule !


L’École Louis Delgrès

Les productions


L’École Grand Camp

Les productions